Elle est une alternative aux protections hygiéniques classiques à savoir les tampons, les serviettes. Réutilisable, ce petit contenant se positionne à l’intérieur du vagin afin de recueillir le flux menstruel. Ce principe séduit de plus en plus de jeunes femmes. Pourtant elle n’est pas vraiment nouvelle, elle a vu le jour dans les années 30. Aujourd’hui, elle rencontre un vrai succès et be’Cup vous propose de découvrir son produit.
Écologique, pratique, hygiénique, économique
La cup est le plus souvent composée de silicone médical hypoallergénique. Une matière douce, imperméable sans danger pour les muqueuses qui tapissent l’intérieur du vagin. La cup retient simplement le flux menstruel, il ne l’absorbe pas. Contrairement aux tampons, elle respecte l’équilibre de la flore vaginale. Avec une hygiène adaptée, les risques d’infections, de mycoses, de brûlures sont très amoindris. La cup ne représente pas de risque pour la santé. Un point important lorsque l’on sait que différentes études ont démontré la présence de substances cancérigènes dans les tampons, les serviettes.
La cup reste invisible
Une femme débourse au cours de vie plus de 24.000 euros en protections hygiéniques. Cette somme est très importante, mais on peut considérablement la réduire en choisissant l’alternative de la coupe menstruelle. Son prix est de 10 à une trentaine d’euros selon les marques. Elle peut être réutilisable durant une dizaine d’années, son prix est de 8 à 12 euros. Lors de son insertion, prévoyez un lubrifiant pour faciliter son installation. Il n’est pas nécessaire d’aller en pharmacie. Vous pouvez en trouver en grande surface ou en ligne. La cup permet aux femmes de se rendre compte du flux perdu à chaque règle. On perd en moyenne 40 à 80ml de sang par cycle. Il faut un peu d’entraînement pour apprendre à plier et à insérer sa cup mais avec le temps on acquiert rapidement le mode d’emploi. La cup doit être parfaitement stérile.